Il y a quelques jours les médias se sont faits l'écho d'une étonnante nouvelle: des scientifiques ont réalisé la première expérience de télépathie.
Dans cette expérience de prétendue télépathie, une communication, à sens unique qui plus est, est réalisée entre une personne émettrice affublée d'un casque sur la tête et d'une personne réceptrice affublée d'un masque sur les yeux.
Comme nous pouvons le voir, le constater, la crise est planétaire et touche toutes les sociétés actives. Tout est en grand changement, bouleversement énergétique et matière, sur toute la Terre. Ces bouleversements transformateurs, élévateurs énergétiques, se produisent sur la Terre comme dans les Cieux.
Quand j'essaie de montrer la problématique récurrente de l'idéalisme ("tout dépend de la conscience") et de l'externalisme ("la conscience dépend de tout"), l'on peut à bon droit se demander ce que j'ai derrière la tête. Mais à quoi donc vise mon propos ?
J'ai essayé de mettre en lumière la difficulté qu'il y a à trancher entre deux points de vue apparemment incompatibles : l'idéalisme ("tout dépend de la conscience") et le réalisme ("la conscience dépend de tout").
Plusieurs lecteurs ont essayé de réagir en non-dualistes, selon deux stratégies :
Le paraître, l'éphémère
C'est le propre de cette dimension qui fait que la forme matière n'est qu'illusion et appartient au monde de la troisième dimension. A ce jour, c'est la matière qui achète, manipule l'être humain et non l'être humain qui se sert de l'outil matière mis à sa disposition pour son évolution et avancer dans sa vie.
Comme le dit maître Tsé on peut dire l’esprit vaste est le principe essentiel du Mahayana, nommée aussi la Voie de la Grandeur. Mais ce que n’a pas compris Zem c’est que l’esprit ne concerne pas le mental, mais l’ouverture du coeur. (En effet en orient, traditionnellement, l’esprit est situé au niveau du coeur).
Dans les cercles spirituels, tous ou presque croient aux expériences de "mort imminente" (NDE en anglais). Le cerveau étant temporairement inactif suite à un coma ou une maladie, l'expérience consciente resterait néanmoins possible, ce qui constituerait une preuve de l'existence de la conscience indépendamment du cerveau.
Dès que l’on prend conscience de la cause d’un mal-être ou d’une maladie, le processus de guérison est déjà amorcé. Il ne reste plus que l’action ou la décision appropriée pour assister au retour de l’harmonie. Claudia Rainville
L'autre jour, lors d'une discussion, je le suis aventuré à dire que je pratique le yoga et la méditation. Je dis je m'aventurais, car je m'attendais à entendre ce que j'ai entendu et que je vous résume en substance. "Ah tu fais de la méditation ? Moi ça me fait peur ces trucs là. Les sectes, le lavage de cerveau." Etc.
J'ai essayé d'évoquer l'expérience du silence, toile de fond de l'expérience mystique.
Ce silence, quoique vivant, est simple, calme, nu et transparent, comme un ciel limpide illustré par un soleil couchant (ou levant !).
En ces périodes d'austérité qui touchent la planète entière, tout se prépare, se transforme, se met en place sous différentes formes pour rentrer dans le monde de la lumière des mondes supérieurs.
Lu sur le site www.droit-inc.com. Sharon Salzberg, professeur de méditation, donne 4 exercices de méditation à pratiquer au bureau. Ces exercices les voici:
A ma connaissance, il n’y a pas eu de riposte bouddhiste à la philosophie de la Reconnaissance (pratyabhijñ?). Toutefois, certains bouddhistes m?dhyamikas, en critiquant la thèse yog?c?ra d’une conscience de soi, formulent des arguments qu’il est intéressant d’adresser – anachroniquement s’entend -, à la Reconnaissance.