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Le blog de fabrice

Que vous souhaiter pour la nouvelle année 2016 ?

Que vous souhaiter pour la nouvelle année ?  Simplement de la confiance.
Puissiez-vous la redécouvrir et la laisser vous habiter

Et si la pratique de la méditation était d’abord une expérience de pleine confiance ?

La chose saute aux yeux quand l’on constate que le manque de confiance régit nos existences et nous laisse coupés de nous, coupés de la vie. Séparés. Isolés. Nous n’osons pas. Nous sommes comme mutilés.

Hors de la confiance, rien ne nous est habitable

Qui dégrade autrui me dégrade

Le dimanche 15 novembre, j’ai dirigé une Journée pour apprendre à méditer qui fut, évidemment, particulièrement poignante.
A un moment, j’ai lu l’extrait du poème de Walt Whitman que j’ai présenté dans mon livre Etre au monde (éd. Les Arènes). J’ai senti que ce poème résonnait dans ce contexte d’une manière particulièrement frappante — et c’est pourquoi j’ai pensé qu’il était important aujourd’hui de l’offrir dans cette newsletter (avec la présentation que j’en donne dans l’ouvrage).

Que nous fait entendre ce poème de si précieux ?

Apaiser la souffrance

J’ai pensé important de transmettre à tous, cette lettre que j’ai écris aux membres amis de l’Ecole

Le déchaînement de la terreur qui s’est abattue sur Paris nous atteint tous, d’une manière qui dépasse même souvent ce que pouvons comprendre. Nous sommes d’emblée, avant même d’y réfléchir, en rapport à la situation, de tout notre être, de tout notre cœur. C’est notre propre humanité qui est comme attaquée et niée…

Etre au monde, 52 poèmes pour apprendre à méditer

A l’occasion de la sortie de mon dernier livre Etre au monde, 52 poèmes pour apprendre à méditer (Arènes) je vous propose pour cette lettre de vous donner à lire l’introduction et l’un des poèmes commentés. 

Tout grand poème nous fait vivre une expérience méditative. Il nous ouvre à l’évidence des choses : une nuée de jonquilles, quelqu’un qui souffre d’être seul dans la nuit, l’ardeur de l’amour, le mouvement du tournesol avec la course du soleil…

Le risque, l’engagement et la percée : la méditation comme apprentissage du courage d’être

« Car le héros s’élançait à travers les haltes de l’amour, chacune le portait plus haut ». R.M Rilke, 6e Elégie de Duino

 

Dans la vie, nous sommes parfois pris dans des situations qui semblent figées. Les habitudes nous gagnent, une certaine forme d’usure se présente. Notre quotidien se répète indéfiniment ou simplement est alourdi, privé de souffle. Que faire alors ?
La méditation permet de répondre à ces situations en nous apprenant à prendre un risque et à ouvrir une brèche dans cet enfermement.

Assumer la maternité de notre être

Le thème de cet enseignement m’est venu à la lecture d’une phrase de Rilke : « Porter jusqu’au terme puis enfanter, tout est là » (Lettres à un jeune poète) 

Nous vivons au Paradis

Nous vivons au Paradis. Etrange affirmation ! Nous savons tous qu’il n’en est rien, que l’existence est difficile, que l’injustice règne bien trop souvent et que ce monde est souvent détraqué, pour reprendre le mot de Kafka. Et pourtant, l’expérience de la méditation nous fait faire l’épreuve que nous n’avons pas été expulsés du paradis. A chaque fois que nous méditons nous refaisons l’expérience que nous y sommes.

L’unité et l’accord

L'angoisse et la louange infinie

Méditer c’est faire en sorte que tout ce que nous rencontrons dans notre existence devienne l’occasion d’apprendre à devenir un être humain — les difficultés comme les expériences heureuses. Voilà ce que j’aimerais arriver à vous montrer à travers les lignes qui suivent.

La souffrance et l’illusion

Comment la philosophie peut nous sauver ?

Je suis heureux de vous annoncer la sortie de mon dernier livre. J'y travaille depuis de très nombreuses années. Il y trois ans, j'avais consacré les soirées hebdomadaires de l’Ecole occidentale de méditation à ce regard sur la philosophie. Ces enseignements ont servi à établir une première version de l’ouvrage largement reprise et méditée depuis.

Je suis Charlie

De la nécessité de se poser

Nous sommes tous aujourd’hui submergés par la colère et le chagrin devant ce déferlement de violence et devant cette attaque contre ce qui constitue le socle même de notre existence : la liberté de penser, la liberté d’être, la liberté d’aimer.

La pureté et l'ouvert

Le sens profond de la méditation est une énigme. En pratiquant nous ne faisons pas vraiment quelque chose.
Nous sommes — c’est tout.
Et pourtant nous touchons ainsi à la racine de la vie. Nous faisons l’épreuve de la pureté du réel — une expérience de fraîcheur et d’innocence comme celle que l’on peut éprouver lorsque nous buvons une eau de source claire et fraîche ou quand, par une belle matinée d’été, nous nous baignons dans la mer.

Gagner la pureté

Simplement être là, le cœur grand ouvert

Depuis à présent 18 ans que j’enseigne la méditation, j’ai dirigé nombre de séminaires. Or chaque séminaire est à chaque fois unique tant par l’approche et les sujets que je choisis, que par la rencontre avec les participants qui constituent aujourd’hui la communauté de l’Ecole occidentale de méditation et créent des situations toujours différentes.
 

Toucher la présence avec son corps

Dans l’Ecole occidentale de méditation, l’accent est mis avant tout sur la pratique de la méditation, qui est la condition préalable à toute écoute des enseignements. Cette pratique réside en une posture simple, précise, rigoureuse, que Fabrice Midal transmet chaque semaine, lors des soirées à Paris, et quotidiennement dans les séminaires en résidentiel.
Aujourd’hui, Fabrice Midal et Clément Cornet nous présentent plus avant cet ancrage corporel.

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