Dans le précédent article je parlais du paradoxe apparent de parler de renforcer la confiance en soi et du fait que le bouddhisme décortique ce que peut être le « soi » sans en trouver trace nulle part.
Et en fait, dans le manque de confiance en soi, peut être que la difficulté primordiale c’est que nous avons une croyance en un « moi » qui est fausse.
Il y a des qualités fondamentales pour bien vivre, comme celles que l’on retrouve dans les paramita, et qui mènent à l’éveil. Mais une qualité qui me semble importante pour aborder la voie du Dharma, est aussi la confiance en soi. C’est pourquoi j’ai décidé d’y consacrer quelques articles à la suite pendant une 12nne de jours.
Cela peut paraître paradoxal sur un blog à tendance bouddhiste, le bouddhisme rejetterait plutôt l’idée d’un moi, mais nous verrons dans un autre article ce qu’il en est réellement.
Vu hier, à l'émission "La soirée de l'étrange" de Christophe Dechavannes. Bon faut supporter Dechavannes... Mais il y a eu un moment intéressant: un reportage sur une icône de la Vierge qui s'est mise à pleurer des larmes d'huile. Le phénomène dure depuis quelques semaines et se passe à Garges-lès-Gonesses en région parisienne. Le phénomène a commencé le 12 février 2010.
Le présent billet m'est inspiré par un billet publié par notre ami Lung Ta Zen: Les 12 bonheurs du Yogi. Son billet m'a donné envie de relire un texte classique des bouddhistes tibétains et d'en partager un extrait avec vous.