C'est le devenir de la nouvelle humanité qui se met en place, qui s'ouvre à toutes ces nouvelles énergies évolutrices, constructives, créatrices. Lâcher-prise avec le passé, les habitudes, le mental, notre matière et rentrer en conscience avec son âme, son coeur de lumière et sa partie divine va faire de nous des êtres à part entière. Retrouver nos racines, notre identité Céleste, renouer les liens avec notre famille céleste, nos frères de lumière est le retour de l'enfant prodigue.
L’éveil artificiel
L’être humain est tout à fait capable de créer des dieux et des paradis artificiels par son potentiel d’esprit inventif.
Toutes les traditions spirituelles prônent l'oubli du monde et le souvenir de l'être. Mais qu'en est-il de la mémoire au sens ordinaire ? En général, le souvenir banal, tel celui du croissant que j'ai mangé ce matin, est considéré comme un obstacle, au motif que le souvenir est une construction mentale et, partant, une illusion.
Le ?ivaïsme non-dualiste distingue trois moyens pour atteindre la plénitude de la liberté.
Le dernier est le yoga et la pratique rituelle.
L'intermédiaire est la philosophie.
Le premier est l'absorption mystique dans la volonté, définie comme pur élan avant toute pensée.
Nous sommes le 30 janvier 2014, et à partir de ce soir 22h39 et jusqu’à demain soir 22h38, vous pouvez adresser à l’Univers une demande d’abondance qui sera plus facilement entendue, car nous sommes à la période de la nouvelle lune.
Voici un petit texte explicatif sur les chèques d’abondance (merci à Véronique de https://www.facebook.com/FleursDeZen ):
Le lâcher-prise mental
Qui se souvient ? Qui conceptualise ? Abhinavagupta répond clairement : c'est la conscience pure. La pensée est, certes, factice. L'ego est une construction. Mais ces élaborations ne sont possibles que grâce à une intuition de soi comme conscience, laquelle n'est pas un concept. Autrement dit, le souvenir par exemple est la synthèse d'une expérience présente (le souvenir) rapportée à une expérience passée.
Il y a deux futurs, le futur collectif et le futur individuel. Le futur collectif ne reçoit que peu d’influence de l’être individuel car plus il y a de péquins, moins il y a de riz. Le futur individuel ne reçoit aussi que peu d’influence de l’être individuel, du fait que l’on veut plus souvent apparaître de telle manière et on est vu d’une toute autre, ce qui veut dire que le soit profond n’a finalement pas grand-chose à dire dans tout ça.