Inciter les parents à vacciner leur bambin contre la rougeole, tel est l’enjeu de la 4e Semaine européenne de la vaccination. Elle se déroulera du 23 au 30 avril prochain.Une simple vaccination ROR (rougeole-oreillons-rubéole) permet de protéger les petits contre la maladie. Elle est vivement recommandée chez les enfants de un an. Une seconde injection est ensuite nécessaire entre 13 et 24 mois.
Voilà ce que vous allez entendre dans quelques jours dans les médias!!
Ne vous laissez pas traumatiser, voici quelques renseignements utiles qui ont été discrètement enlevés de plusieurs blogs où j'écris, notamment http://www.infobebes.com/, il n'est pas bon être contre le lobby pharmaceutique en France qui rend "obligatoire" certains vaccins, pas la rougeole pour l'instant, car elle est supprimée chez nos voisins même dont les responsables ne sont pas sous la coupe des labos, lisez mon article entièrement, vous aurez appris quelque chose d'utile et vous aurez des références exactes à citer.
Dans son livre « Ce qu’on nous cache sur les vaccins » Sylvie Simon nous apporte un remarquable travail de recherche dont j’ai tiré mon article.
Vous êtes libre de faire ce que bon vous semble avec votre enfant, moi je suis
naturopathe holistique et je ne vaccinerai pas mon enfant parce que je
sais ce qu'est capable de produire la vaccination.
La rougeole est une maladie bénigne, et utile, à prendre au sérieux !
La rougeole est très contagieuse, due à un myxovirus, 2 semaines après
contamination elle provoque une fièvre qui peut monter à 39-40°, rougeurs au
cou, au ventre, aux jambes et sur la poitrine, on peut observer ce qu’on
appelle des taches Köplick (petits points blancs dans une zone rouge sur la
joue).
5-6 jours plus tard, la fièvre disparait ainsi que les taches rouges.
10 jours après votre petit sera à nouveaux en pleine forme, en plus il aura
acquis une immunité naturelle sans faille A VIE, (à condition de ne pas
intervenir avec d’autres produits chimiques (vaccins) qui sont uniquement faits
pour déstabiliser son système immunitaire. Chez les enfants en bonne santé il
n’y a pratiquement pas de complications telles que bronchites et otites qui
peuvent survenir à la fin de la maladie, comme sur n’importe quel « terrain »
au système affaibli.
Il faut isoler le malade pendant les 7 premiers jours de la maladie, car le
virus s’attaquera aussi bien à un enfant vacciné que non vacciné ! (les études
citées plus loin montrent que les enfants vaccinés sont plus sensibles aux
épidémies et réagissent très mal) d’où l’importance de la vaccination ? on se
demande ! la loi prévoit même une éviction scolaire jusqu’à la guérison
clinique !! C’est dire si les pouvoirs publiques font confiance au vaccin,
ou savent-ils qu’il ne sert qu’à remplir les poches des laboratoires qui le
fabriquent, sinon, pourquoi s’inquiéter si on est vacciné ?
Le virus de la rougeole a été isolé en 1954, les premiers vaccins de la souche
dite Edmonston à base de virus vivant atténué, ils ont provoqués des effets
secondaires bien plus dangereux que le myxovirus lui-même, (En effet il n’a pas
eu le temps de se développer normalement par voix respiratoire, détecté
naturellement par les anticorps qui fabriquent en quelques heures un début de
riposte (fièvre) et finissent naturellement par le vaincre et le maîtriser).
Comprenez qu’on l’injecte directement dans le sang ! Réactions fébriles, signes
respiratoires très intenses, éclosion violente de rougeoles « atypiques »,
beaucoup de cas ont été passé sous silence et l’on ne connait pas exactement
l’ampleur des dégâts de cette époque.
Aujourd’hui on utilise la souche dite « Schwarz » sous le nom « Rouvax » des
laboratoires Mérieux, on l’obtient après 85 passages sur fibroblastes de
poulet ! Lesquels peuvent être infectés par la leucose aviaire.
Dans les pays du Tiers Monde à partir de 1990 on a utilisé une autre souche
dite « Edmonston-Zagreb » administrée volontairement à forte dose, il a fallu 2
années pour constater une mortalité de 20 jusqu’à 80% supérieure à celle
d’enfants vaccinés chez nous, il a fallu 3 ans pour que l’OMS retire cette
souche en raison des ravages qu’elle avait causé (on avait mis ça sur le
fait, vrai en l’occurrence aussi, que l’hygiène y était précaire !) On s’est
bien gardé de dire que ce vaccin fut éliminé à cause des réactions
catastrophiques qu’il provoquait et de l’hypersensibilité à la maladie qu’il
déclenchait (ref : Médecines-Science – dec 1992.
Enfin le labo Glaxo-SmithKline a sorti un nouveau vaccin, le Boostrix qui
contient à lui seul le DTP (encore malheureusement obligatoire en France) plus
le vaccin coquelucheux acellulaire, il n’a pas été prévu et n’était pas indiqué
en primo-vaccination, mais depuis le retrait du vaccin DTP français pour des
raisons encore non claires depuis plus de 2 ans maintenant, on l’a carrément
remplacé par celui-ci, prévu pour « vacciner les adultes pour protéger le
nourrisson », d’autre part on vaccine les bébés de la grippe pour protéger les
gens âgés !!! jusqu’où iront ces « protections croisées » ? On se le demande.
Les anticorps vaccinaux quand ils ne provoquent pas d’effets secondaires
désastreux assurent une protection de courte durée. Toutes les études
rapportées prouvent qu’une couverture vaccinale élevée n’a jamais empêché la
survenue d’épidémies récidivantes avec fort taux de complications, (ce qui
expliquerait la loi française de confinement même dans un milieu vacciné), ainsi
le pays le plus vacciné depuis le plus longtemps (1963 aux USA) voit le nombre
de malades en forte progression depuis 1983 une augmentation régulière et
importante des cas de rougeole « post-vaccinale » qui atteignent les lycéens et
depuis cette année les adultes, il n’y a que les vétérans qui sont épargnés,
ils n’ont jamais eu de vaccins à leur époque et ils ont attrapés la rougeole
naturellement, ils ne sont absolument pas contaminés actuellement !!
Aux Etats Unis en 1958, on répertoriait 800.000 cas, une année avant
l’introduction du vaccin qui eu lieu en 1963, ce chiffre était de lui-même
tombé à 3000, puis de 1963 à 1966, le chiffre a continué de baisser, il était
même question d’arrêter la vaccination que beaucoup de sommités médicales
jugeaient inutile (Médecine et hygiène- 12 jan 1983). Mais les laboratoires
eurent gain de cause.
On peut ainsi constater les courbes descendantes de maladies infectieuses sans l’aide des vaccins, alors qu’on persiste à répandre la fausse affirmation que leur disparition est due aux seuls vaccins !
Le célèbre pédiatre américain, le Dr Mendelsohn qui exerce une forte influence
à remarqué :
« Depuis 30 ans qu’on vaccine aux Etats Unis contre la rougeole,
les épidémies n’ont pas baissé d’intensité,
concernant même jusqu’à 8% des sujets vaccinés et touchant des adultes dans 10% des cas
mais avec des formes beaucoup plus graves,
et la mortalité par rougeole a été multipliée non par 2, ni 4, ni 8, mais par 25 !
depuis ces campagnes vaccinales. »
La rougeole est en constante augmentation depuis la vaccination (ref : Arch.Intern.Med, 1994)
Le plus incroyable, c’est que les laboratoires SmithKline Beecham eux-même, font un constat alarmant dés 1995, pourtant fabricant des vaccins en questions !!:
"Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux Etats Unis
en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983
malgré une vaccination systématique contre la maladie
et ce depuis 1978.
18 épidémies ont été recensées
parmi les populations scolaires
très vaccinées et immunisées (71 à 99,8%)
et pas moins de 77% des rougeoles déclarées
sont apparues chez des élèves vaccinés."
L’échec d’une vaccination préscolaire se traduit donc par
une transformation paradoxale de la rougeole
en maladie des vaccinés
(ref :Vaccin Action N°1 – p 995).
En 1984. une
étude publiée dans le Journal of the American Médical Association (Jama)
témoignait de la recrudescence des cas de rougeole qui passèrent alors de 0,5
sur 100 000 en 1983 à 1 sur 10 000, dont 38,1 %
correctement vaccinés.
Le 15 janvier 1988, Jama alertait ses lecteurs : "Le record d'immunisation
a été signalé dans les écoles de browning Mount aux États-Unis, où le plus
grand nombre de cas de rougeole fut recensé, atteignant 98,7 % des
étudiants très correctement vaccinés."
Et en 1990, le 15 juillet, le même journal informait ses lecteurs qu'une proportion de 83 % de malades victimes d'une épidémie
prolongée avaient été correctement vaccinés.
Plus récemment, les autorités sanitaires américaines ont rapporté 769 cas de
rougeole dans une école du Minnesota alors que 632
cas se sont produits chez des enfants vaccinés.
Et en 2006, le CDC signalait que 89 % des enfants
d'âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés.
À son tour, le New England Journal of Medicine a publié une étude qui révélait
qu'au cours de la dernière épidémie de rougeole,! Plus
de 80 % des cas s'étaient produits chez des enfants qui avaient reçu toutes les
doses de vaccin recommandées.
En France, on assiste au même phénomène. Le Dr Prazuck constatait que 34 rougeoles s'étaient déclarées chez des enfants vaccinés
sur un total de 112 cas. Cependant, il concluait paradoxalement que
"ce phénomène ne doit pas mettre en cause la
politique actuelle qui a permis de faire passer le taux de protection vaccinale
en région parisienne de 59% en 1990 à 90% en 1992." (cf. Médecine
et Maladies Infectieuses 1994). On ne comprend pas très bien, en l'occurrence,
ce que signifie "protection vaccinale".
Il semblerait plutôt que le but recherché soit essentiellement le record
dans les pourcentages de sujets vaccinés. On conçoit la perplexité des
parents.
En 1986, au Canada, le nombre de rougeole était 7 fois plus élevé qu'en 1985. Sur 5 575 cas étudiés, 60% concernaient des sujets bien
vaccinés, 28 des sujets non vaccinés, la situation vaccinale des 12
% restant inconnue.
La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et
l'Allemagne dès 1975.
Le ministre allemand de la Santé a déclaré à l'époque que :
"son efficacité médicale n'est pas prouvée,
tandis que sa toxicité est démontrée."
La majorité
des sujets touchés par les épidémies présentent une séro-conversion
post-vaccinale incluant, dans certains cas, une diminution progressive de
l'immunité, ce qui traduit bien l'échec de la vaccination, et surtout le recul
de l'âge moyen de l'éclosion de la maladie, avec des effets secondaires
beaucoup plus graves dans les tranches de population plus âgées, et une
mortalité multipliée par dix.
La France, où le recensement des cas n'est pas
rigoureux puisque les rougeoles atypiques ne font pas partie des statistiques
!! On connaît une augmentation de 10 000 cas de rougeole par an. On
incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu'elle
atteint pourtant en moyenne plus de 80 % et des chiffres alarmistes sont avancés
pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner.
Parlons maintenant des effets indésirables:
Comme le soulignait en 1990 le magazine médical Jama dans son édition française
(vol. 15 n° 210) "le vaccin donne la
rougeole", mais les crèches,
dont les responsables ne lisent évidemment pas Jama. même en français,
l'exigent pour l'admission des bébés.
Le biologiste Bernard D. Jachertz, de Berne, qui fait partie du Groupe de
réflexion sur le ROR (CP 1010 - Lausanne), constatait :
"L'expérience historique montre que le virus de la rougeole
repoussé ou même anéanti sur une population circonscrite
expose ladite population au danger d'épidémie à caractère explosif."
Nombre de
publications internationales confirment l'échec de
la vaccination contre la rougeole avec un recul de l'âge moyen et une gravité
accrue des formes de l'adulte.
D'après une étude du Pr. Fournier, de la faculté de Lille, le risque
d'encéphalites post-vaccinales et de perturbations du tracé
électro-encéphalo-graphique est de 10 % chez les sujets vaccinés, et le risque
franchement pathologique est chez eux de 4 %.
Quant au Pr. Saliou, directeur scientifique de Pasteur-Vaccins, il a
lui-même remis en question cette vaccination par rapport au sida :
"Dans le contexte actuel,
il faudrait peut-être envisager la suspension
des vaccins BCG, polio, rougeole."
(cf. Le Monde du 23 mai 1987).
Quelles que
soient les affirmations de certains communiqués orientés, la vaccination
contre la rougeole demeure un sérieux facteur de risque de maladies de
dégénérescence pratiquement incurables.
The International Pharmaceutical abstract, de Washington, signale qu'en
novembre 1983 une sévère épidémie de rougeole s'est
développée à la suite d'une campagne de vaccination, touchant 33,6 % des jeunes
filles vaccinées et rarissime, 21,6 % de celles qui étaient naturellement
immunisées : tout porte à penser qu'il s'agissait d'une mutation
du virus vaccinal.
En 1993, plus de 25 % des cas de rougeole se produisirent chez des bébés de
moins d'un an. Le CDC attribua ces cas au fait que de nombreuses mères furent
vaccinées entre 1960 et 1980. L'immunité naturelle de ces mères ayant été
annulée par la vaccination, elles n'ont pu la transmettre à leurs enfants.
En 2006, 150 enfants chinois de la province d’Anhui sont tombés malades après
l'injection du vaccin, manifestant de très fortes poussées de fièvre allant
jusqu'à 41° (cf. Shanghai Daily, 2006-03-25 13 :39).
Alors quelle alternative avons-nous ?
L'enfant doit simplement être gardé au chaud dans une chambre aérée et mis à la diète avec des infusions antiseptiques, des jus de fruits naturels et des oligo-éléments (cuivre, or, argent). Il est utile de désinfecter l'atmosphère avec des huiles essentielles.
En homéopathie. Morhillinum et Drosera sont des adjuvants précieux (cf. Médecines nouvelles n° 76, janvier 1995).
Maintenant que vous possédez quelques éléments difficiles à obtenir, vous êtes à même de prendre une décision en votre âme et conscience, mais n’oubliez pas que le meilleur atout des laboratoires et de leurs vassaux est de véhiculer des idées fausses et de faire l’usage de la peur !