« On peut comparer les parties de notre corps à des ustensiles de cuisine que l’on a depuis longtemps — tasses, soucoupes, assiettes, etc. Au début ils étaient propres et brillants, mais après avoir été longtemps utilisés, ils ont commencé à s’user. Quelques-uns se sont cassés, d’autres ont disparu et ceux qui restent sont abîmés, plus ou moins déformés — mais il est dans leur nature d’évoluer comme cela. Il en va de même pour votre corps. Il a subi des changements continus depuis le jour de votre naissance, en passant par l’enfance, la jeunesse et maintenant la vieillesse. Vous devez accepter cela. Le Bouddha a dit que les conditions — qu’il s’agisse d’états physiques ou psychiques — ne nous appartiennent pas en propre ; il est dans leur nature de changer. Méditez cette vérité jusqu’à ce que vous la compreniez clairement. » (Ajahn Chah). (Lire le texte intégral sur Buddhaline)
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