“L’apparition d’un bouddhisme engagé est un développement
salutaire. Malgré les tares que le bouddhisme partage avec toutes les
religions (superstition, hiérarchie, phallocratie, complicité avec
l’ordre établi), il a toujours eu un cœur de pénétration authentique
fondé sur la pratique de la méditation. C’est ce cœur vital, ainsi que
sa liberté vis-à-vis des dogmes si caractéristiques des religions
occidentales, qui lui ont permis de prendre si facilement racine, y
compris dans les milieux les mieux éduqués d’autres cultures. Ceux qui
luttent pour le changement social pourraient mettre à profit
l’attention, l’équanimité et l’autodiscipline qui sont développées par
la pratique bouddhiste. Quant aux bouddhistes apolitiques, ils
pourraient sans aucun doute gagner à se confronter aux questions
sociales”
Ken Knabb.
Lung Ta Zen http://zemapprentimaitrezen.wordpress.com/