Comment poser la question au Yi jing
En posant la question à Dieu je reçois une réponse divine, en posant la question à ma fée je reçois une réponse féérique, en posant la question à mon professeur je reçois une réponse humaine.
Le langage de Dieu ou de la fée sont parfois incompréhensibles pour moi qui ai besoin parfois de concret.
Pour cela, j’interroge le Yi jing comme si je m’adressais à mon professeur, mon grand-père ou mieux, un maître défunt à qui je voue une grande admiration.
Le Yi jing est un esprit !
L’origine de ce savoir nous vient certainement des êtres élémentaires de la terre (gnomes) car c’est le gnomon qui est à l’origine du symbole du Yin et du Yang (Taiji).
Chacun de nous comporte tout l’univers en son microcosme et chaque méthode ou moyen peut nous appartenir dans la mesure où nous décidons de faire exister une vérité en nous-même.
La réponse vient de notre âme, esprit subconscient, cœur, ou peu importe, car le Yi jing est une mécanique qui déclenche les neurones par l’association d’image et les réponses se trouvent au tréfonds de nous-mêmes.
En approchant l’oracle avec une éthique, du respect et de l’estime, on reçoit plus facilement des réponses.
Le Yi jing ne nous répond pas toujours car nous ne sommes pas toujours dans la bonne fréquence (de l’instant présent). Les événements synchronistiques sont ce qui nous révèle cet instant présent justement. Le langage symbolique d’une occurrence simultanée de deux événements arrivant au même instant sans lien de causalité, est ce fameux hasard qui n’existe pas et qui est là pour nous enseigner quelque chose.
C’est donc maintenant ou jamais qu’il faut se résigner à s’approcher de soi avec une attention et une intention vraie.
La question de la façon de poser la question est la pertinence qui révèle la réponse là où il n’y a plus besoin de demande.
Le grand secret pour recevoir est la gratitude. En disant merci à l’oracle avant de l’interroger, on se trouve souvent dans la position où il n’est pas nécessaire d’interroger.