L’apparition du virus H1-N1 vient une fois de plus relancer la polémique du bien fondé de la vaccination. Je ne parlerai pas ici du vaccin contre la grippe A, car l’internaute averti a déjà consulté toute une kyrielle d’articles à ce sujet et ce serait jeter un inutile pavé dans la mare du crime organisé au profit des grandes firmes pharmaceutiques.
Grâce à Internet, tout honnête citoyen a aujourd’hui les données et les moyens nécessaires pour le conduire à une saine réflexion sur la question de la vaccination en général.
Voici dans ma propre famille un cas tout à fait significatif. Peu de temps après la vaccination du BCG mon époux, encore enfant, a fait une méningite. La nature bienfaisante, soutenue par l’énergie vitale de l’enfant, provoqua une hémorragie mémorable et bienfaitrice qui lui sauva la vie. Face à cet épisode inattendu, le médecin l’envoya dare-dare en observation dans un CHU, ce qui lui valut 2 mois d’hospitalisation, 17 ponctions lombaires et 1 ponction au foie, le tout sans anesthésie. Imaginez l’angoisse d’un enfant de 11 ans devant un aréopage en blouse blanche qui défilait devant son lit, le livrant tout cru, comme une bête curieuse, au cercle attentif des étudiants venus apprendre avec attention comment enfoncer une aiguille dans son foie. Bref, le summum du cauchemar. Quelque part, il y avait comme un relent d’arène et de picador.
La docte assemblée, au bout de tout ce temps de vaines souffrances, attesta la guérison et déclara tout de go que le vaccin avait sauvé l’enfant. Pas une seule fois l’homme de science, imbu de connaissance et fier de ses études n’a mis en cause la vaccination, le dogme prévalant une fois de plus sur la logique. Pourtant des cas de méningites tuberculeuses induites par le BCG ont été répertoriés chez des enfants jusque là en bonne santé (the Lancet 1988 p 440-441), sans compter que dès 1950, un chirurgien algérien, qui se préoccupait plus de la santé de ses malades que de celle de son portefeuille, rechercha ce qu’étaient devenus les enfants vaccinés au BCG buccal. Il observa que sur 349 enfants, 93 avaient des manifestations tuberculeuses, soit pas loin de 30%. Pire encore, en 1951, les Japonais constatent 36 cas d’encéphalomyélite. Ils remplacent donc le vaccin par un BCG inactivé qui a entraîné des effets secondaires encore plus graves. (Japanese journal of medical science and biology t.17 1961).
Par contre je suis étonnée de voir que, des personnes apparemment averties se soumettent encore au vaccin anti-tétanique. La raison qu’ils en donnent est la suivante : là il y a une blessure et le bacille passe directement dans le sang, donc c’est grave ! Et les vaccins injectables, ils passent par où , si ce n’est directement par voie sanguine ? Je crois qu’il est bon de rétablir quelques vérités liées à l’observation et au bon sens.
Il faut savoir que ce n’est pas le bacille tétanique qui est cause de la maladie mais la toxine qu’il sécrète. D’autre part le tétanos n’est pas contagieux et il n’immunise pas, le fait est connu depuis longtemps. On peut avoir un taux d’anticorps antitétaniques 2500 fois supérieur au taux minimal de protection et attrapper le tétanos ! Et on veut nous faire croire que l’anatoxine ( = toxine atténuée) du vaccin antitétanique nous protège du tétanos ?
J’en entends qui crient déjà : mensonges, balivernes…. Et bien non, plusieurs cas sont répertoriés et cités dans Neurology, t.42 p 761-764 1992
Le tétanos est avant tout une question d’hygiène. Le bacille tétanique est anaérobie, ce qui veut dire que pour se développer il a besoin d’être privé d’oxygène. Cela suppose donc la présence dans la plaie, d’autres micro-organismes qui eux sont aérobies, ce qui veut dire qu’ils vont consommer tout l’oxygène pour placer le bacille tétanique en anaérobiose. D’où l’intérêt de nettoyer les plaies à l’eau oxygénée.
Le tétanos néonatal demeure un problème grave dans les pays ou l’hygiène est insuffisante. En 1996, l’OMS déclare que « grâce à l’accouchement hygiénique, la plupart des pays développés a ramené l’incidence du tétanos néonatal à un chiffre proche de zéro ».
« Lors de la conférence de Leningrad en 1987, Masar rappelait qu’en Slovaquie, près de 90% de la population était immunisée avec 3 doses de vaccin antitétanique. Malgré cela, un suivi de 1978 à 1986 a montré que sur 28 cas de tétanos, 20 étaient vaccinés et 2 sont morts en dépit d’une dose de rappel. » (M.Georget, Vaccinations les vérités indésirables )
En cas de tétanos on fait aussitôt un sérum antitétanique ou des injections de gammaglobulines spécifiques humaines, sans compter diverses drogues pour lutter contre les contractures. Pourtant une solution existe. Simple et efficace, elle date de 1950 et a été employée avec succès par le Docteur Fumeron à l’hôpital de St jean d’Angély. Le bon docteur eut à traiter un jardinier dont l’état de contracture était bien avancé. Il lui administra donc avec toutes les précautions nécessaires, par voie intraveineuse, une solution de chlorure de magnésium. Vingt minutes plus tard le malade s’asseyait sur son lit et après 4 injections à 12 heures d’intervalle il était guéri !
En 1980, ce qui est plus proche de nous, un chercheur dénommé Natu, constatait qu’il y avait une corrélation entre la baisse du magésium sanguin et la gravité du tétanos et le publiait dans l’ Indian Journal of Medicine and Science t.34 p.24-26
Pourquoi un traitement simple, efficace et de surcroît peu coûteux est-il aussi peu connu et peu appliqué ? Probablement à cause de son prix dérisoire et de sa rapidité d’action qui empêchent laboratoires et lobbies de s’engraisser aux frais du citoyen, via les hôpitaux et la Sécutité Sociale.
Donc là encore, je ne sais pourquoi médecins et malades refusent d’entendre ces vérités toutes simples. La stratégie de la peur et la supériorité du diplôme font toujours recette. C’est pourtant parmi les agrégés de médecine que se trouvent les esprits les plus ouverts, mais c’est le médecin local qui en impose au patient confiant et crédule. Quelques rares thérapeutes dont le cercle heureusement s’agrandit, sortent de leurs acquis dogmatiques et sont aussitôt poursuivis et interdits d’exercice par le tout puissant ordre des médecins.
En conclusion, soyons responsables de notre santé. Tout est une question de respect : de soi, de son corps, des autres etc. Nous avons la chance que ce qui était caché soit aujourd’hui à la portée de tous. D’innombrables ouvrages et de courageux scientifiques n’hésitent pas à dévoiler enfin des vérités qui dérangent. C’est notre liberté qui en dépend ! Savoir c’est être libre, telle est ma devise.