Pline l'Ancien, ça n’est donc pas d’aujourd’hui, mais nous avons l’impression que ce qu’il disait rentre bien dans l’actualité :
« Les médecins apprennent à nos risques et périls ; ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine, et le médecin est le seul qui puisse donner la mort. Bien plus, on rejette le tort sur le malade. »
MISE EN GARDE
Si vous n’avez comme commentaire que votre émotivité à exprimer à cause d’états de choc, ce qui je le reconnais est normal au premier abord. Et oui, c’est difficile de remettre en question les croyances que l’on nous a inculquées sans preuves ! Des insultes et des affirmations sans sources (autres que celles des vaccinistes eux-mêmes) à mon égard, c'est-à-dire à ces médecins et ces professeurs qui font des recherches que les laboratoires essaient de cacher à la masse, (apparemment ils y arrivent bien vu le nombre de « gens-moutons » qui s’offusquent de lire ce qu’ils n’ont évidemment jamais lu et entendu parlé). Si vous croyez aveuglément ce que les pouvoirs publics, les laboratoires pharmaceutiques, et vos médecins généralistes qui n’en savent pas plus que vous sur les vaccinations, ayant eu le même raisonnement : que l’on n’a pas à remettre en cause des dogmes si bien enracinés !
SI vous n’avez rien d’autre donc à amener, il est inutile de venir discuter ! Ici tout ce que vous allez lire est étayé des sources desquelles ces faits ont été puisés. Alors faites en autant !
On attribue LA DIPHTERIE, cette maladie à la bactérie Corynebacterium diphteriae, présente dans le nez, la gorge ou la peau, et elle concerne particulièrement les jeunes enfants de un à cinq ans. Elle se présente sous forme d'une angine à fausses membranes et si ces membranes gagnent le larynx, elles déclenchent une toux caractéristique, appelée « croup », qui peut asphyxier les bébés. Les formes aiguës de la maladie cèdent rapidement aux antibiotiques. [NDA : pour l’instant, mais à force de gaver les patients d’antibiotiques, de gaver les animaux d’élevage d’antibiotiques, il arrivera qu’un jour les antibiotiques ne fassent plus d’effets du tout, au mois de juin 2011, les pontes de trois grand hopitaux et les responsables des services publiques se sont réunis pour décider d’une mesure commune face à l’afaiblissement de nombreux antibiotiques dans le milieu hospitalier, résultat ! Très intelligent ! On va multiplier la dose d’antibiotiques par 5 pour pouvoir avoir un résultat ! Comme dans de nombreux autres domaines, c’est toujours la course en avant ! Ca ne résout rien, ça ne fait que reculer le problème.]
Le vaccin, obligatoire, est préparé à partir de la toxine sécrétée par le bacille et détoxiquée grâce au formol. Son action est renforcée par de l'hydroxyde d'aluminium, adjuvant de l'immunité qui augmente la production des anticorps.
La diphtérie n’a jamais touché plus de 7% des enfants, mais on vaccine aussi bien les enfants que les adultes et on recommande plusieurs rappels alors qu’on prétend que la seconde injection assure déjà l’immunité ! (VOIR : « LE GUIDE DES VACCINATIONS », EDITE PAR LE COMITE FRANÇAIS POUR LA SANTE, 1995.)
En janvier 1938, fut votée une loi instaurant l'obligation vaccinale contre la diphtérie et le tétanos. Alarmés par les multiples effets secondaires dramatiques observés après la campagne de vaccination qui s'ensuivit, quelques députés courageux, tels Philippe Henriot, député de Bordeaux, Marcel Boucher, député des Vosges, et René Plard, député-maire de Troyes, osèrent s'élever contre cette obligation. Le 15 février 1939 se tint une réunion publique salle Wagram, à Paris, à laquelle étaient conviés le professeur Ramon, découvreur de l'anatoxine diphtérique, et des membres de l'institut Pasteur. René Plard évoqua son inquiétude en ces termes : « Je suis amené à vous dire devant cette tribune les angoisses du maire d'une grande cité qui s'est trouvée en présence d'une épidémie de diphtérie et qui, s'en référant aux hommes de science, a fait vacciner en bloc 5300 enfants. Devant les résultats, ma conscience, je ne vous le cache pas, est inquiète et tourmentée. Voici les faits :
« Nous avons eu à Troyes une épidémie de diphtérie qui a pris naissance dans une colonie scolaire. J'ai réuni le corps médical qui s'est trouvé divisé. Alors j'ai demandé le secours d'un délégué du ministère qui a préconisé la vaccination. [...] Or, il se produisit une chose terrible. À la suite des piqûres d'anatoxine Ramon, des enfants jusqu'ici sains furent contaminés, il y eut des morts.
« Des médecins ont prétendu que la vaccination pouvait être à l'origine de certaines diphtéries qui ont évolué vers la mort. Et c’est bien là qu’est le drame. [...]
« A la Chambre, des collègues se référant aux statistiques officielles m'ont répondu que les avantages sont plus grands que les inconvénients.
« Alors, en présence des décès qui se multiplient, j'ai pris sur moi d’isoler dans un hôpital improvisé 308 enfants.
Ce droit exorbitant, les parents ne me l'ont pas contesté. Ils auraient pu le faire. Mais quand on a conduit trois petites filles au cimetière, on est excusable de sauter à pieds joints par-dessus les règlements.
« Je ne sais pas si, en temps d'épidémie, on peut s'arroger le droit de risquer de tuer l'individu pour sauver la collectivité, mais en période normale, où pourrait-on trouver la justification de créer par la vaccination des hypersensibilités à l'infection, selon le mot du docteur Anglade?
« Quant à moi, après la douloureuse expérience que je viens de vous exposer, je refuse de prendre une telle responsabilité. Je voterai à la Chambre contre les vaccinations obligatoires. »
Par la suite, le 15 juin 1939, Marcel Boucher présenta à la Chambre une proposition de loi abrogeant la vaccination antidiphtérique obligatoire, mais le décret du 24 novembre 1940, signé par le maréchal Pétain sur avis conforme de l'Académie de Médecine, fit de cette obligation une loi d'État.
En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le BULLETIN DE L'OFFICE INTÉRIEUR D'HYGIÈNE PUBLIQUE en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l'OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis. LYON MÉDICAL DU 23 AOÛT 1953 TITRAIT : « DE L'EFFONDREMENT DE LA DIPHTÉRIE SANS VACCINATION EN ALLEMAGNE OCCIDENTALE ET AU JAPON ».
Entre 1944 et 1952, la diminution des cas de diphtérie fut particulièrement spectaculaire. A la même époque, le Japon qui avait entrepris une campagne vaccinale (1948) l'arrêta à la suite d'une quarantaine d'accidents vaccinaux mortels (CF. M. KORNINAMI IN TOKYO MEDICINE JOURNAL, SEPTEMBRE 1952-JANVIER 1953), et ne la reprit qu'en 1950. (NDA : Sous la pression des laboratoires pharmaceutiques et de la campagne agressive qu’ils avaient alors développé, mettant l’accent sur la peur et des dessous de tables (VOIR : LE GRAND SECRET DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE DE PHILIPPE PIGNARRE) Mais alors, par suite de pénurie de vaccins, le nombre des enfants vaccinés resta très inférieur à celui des non vaccinés. Pourtant le déclin de la maladie fut spectaculaire, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité !
« Cet effondrement est d'autant plus remarquable que là comme en Allemagne, les conséquences inévitables de la défaite, dévastations en tout genre, désorganisation économique, exode des réfugiés, sous-alimentation, misère extrême... tout faisait craindre le pire. Comparons donc, pendant la même période (1944-1952), les courbes du Canada (le Canada est toujours cité par les immunologistes comme exemple d'efficacité des vaccinations) avec celles du Japon, elles sont sensiblement superposables. Si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination, elle aussi, a réalisé des prodiges au Japon. » Constate Fernand Delarue (L'INTOXICATION VACCINALE, OP. CIT.)
Quant à la France, de 1945 à 1950, les décès sont tombés de 1 839 à 121 chez les enfants de un à quatorze ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins d'un an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas. « Si c’était l'anatoxine qui, chez ces derniers, était cause de l'effondrement de la diphtérie, ce déclin n 'aurait pas dû se produire chez les enfants de moins d'un an, puisqu'ils n'étaient pas vaccinés. En d'autres termes, les résultats de la non-vaccination ont été aussi « spectaculaires » que ceux de la vaccination », remarque Fernand Delarue.
La décrue naturelle de la diphtérie est inscrite au crédit de l'action vaccinale, alors qu'il s'agit d'un phénomène spontané de régression épidémique. Les années 1938 à 1941 furent des années de crise épidémique après quoi, jusqu'à 1981, on observe une décrue de la maladie dans tous les pays d'Europe, qu'il y ait vaccination ou pas.
Vers la fin des années quarante, on dénombra en Angleterre de nombreux cas de poliomyélite après l'injection du vaccin antidiphtérique : 50 enfants furent admis au Guy Hospital de Londres, 65 dans les Midlands et 40 à Saint-Pacras, ce qui mena à interdire le vaccin dans ce pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus en Angleterre et au pays de Galles à cette époque chez des enfants âgés de six mois à deux ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique.
L'étude la plus complète sur l'incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Dr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans LE JOURNAL DE MÉDECINE DE LYON. Son constat rejoint un peu celui de Fernand Delarue : « [...] Comme cette régression « spectaculaire » a plus ou moins coïncidé avec l'extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c'était l'anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »
En 1944, le Pr. Ramon affirmait que 10 % des vaccinés étaient encore réceptifs à la diphtérie. Étant donné que le Pr. Rendu reconnaît que 90 % des enfants sont naturellement réfractaires à la maladie, on peut estimer qu'en résumé, la vaccination antidiphtérique est inutile chez les enfants réfractaires à la maladie et elle n'immunise pas ceux qui sont naturellement réceptifs. Sans doute est-ce pour cela qu'on les vaccine tous avant dix-huit mois !
Parlant des vaccins contre la diphtérie et la variole, le Dr Duperrat, de l'hôpital Saint-Louis à Paris, a déclaré qu'ils « provoquaient une explosion de leucémie ».
Dans IMPACT MÉDECIN HEBDO DU 13 OCTOBRE 1995, le Pr. Michel Rey, auteur de l'ouvrage Vaccinations (VACCINATIONS, PR MICHEL REY, ÉDITIONS MASSON, 1980.) , constate que la protection conférée par la vaccination dure moins longtemps que l'immunité naturelle et que la protection n'est plus que de 50 % dix ans après la vaccination, alors que 90 % des adultes sont naturellement immunisés avant d'être vaccinés.
LA REVUE PRESCRIRE (N° 142, P. 445,1994) — totalement indépendante des laboratoires — fait état des dangers de la vaccination antidiphtérique. Et la présence de réactions locales signe un conflit «antigène-anticorps » d'après l'expression de Louis Léry, de l'Institut Pasteur.
Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélites directement liées à la vaccination antidiphtérique. C'est le phénomène de transfert ou de métamorphose des germes qui nous entraîne, par le biais des vaccins, à une cascade sans fin de nouveaux fléaux.
Le sida est là pour nous le rappeler.
Dès 1932, le Dr Chavanon avait écrit La diphtérie, traité de thérapeutique et immunisation (LA DIPHTÉRIE, TRAITÉ DE THÉRAPEUTIQUE ET IMMUNISATION, DR CHAVANON, 1939.) ouvrage très fouillé sur la diphtérie, dans lequel il dénonçait les dangers de l'anatoxine.
De son côté, dans les années cinquante, le Pr. Tissot avait alerté l'opinion sur les dangers du vaccin antidiphtérique dans son fameux petit recueil intitulé La Catastrophe des vaccinations obligatoires (. LA CATASTROPHE DES VACCINATIONS OBLIGATOIRES, PR TISSOT, OP. CIT.) Ils ne furent pas écoutés, quoique leurs observations et leurs critiques, n'aient rien perdu de leur actualité.
A son tour, le Dr W. Torch, de l'Université du Nevada, a étudié les cas de 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson et a constaté que deux-tiers d'entre eux avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les trois semaines précédant la mort (W. C. TORCH, IN « DPT IMMUNIZATION, A POTENTIAL CAUSE OF SIDS (SUDDEN INFANT DEATH SYNDROM) », DANS LA REVUE NEUROLOGY, 1982.). Certains mêmes étaient morts le lendemain (VOIR. W. C. TORCH « DPT IMMUNIZATION, A POTENTIAL CAUSE OF SIDS », NEUROLOGY, 1982). Ce constat fut confirmé par le Département de pédiatrie de l'École de médecine de UCLA et le Département de la santé du district de Los Angeles à propos d'autres enfants morts des suites du même vaccin.
CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR :
L'administration d'un vaccin provoque une perturbation immunitaire et court-circuite les défenses naturelles de l'organisme. Tous les vaccins sont susceptibles de provoquer un choc anaphylactique dont l'évolution est imprévisible. Ces manifestations peuvent apparaître brutalement en une à trois minutes, après une injection cutanée, ou deux à trois heures, après une injection médicamenteuse. L'évolution du choc anaphylactique reste imprévisible après la récupération thérapeutique. Pour LA REVUE DU PRATICIEN N°45 (1995, P. 1971), « une surveillance pendant douze heures au moins en milieu hospitalier est donc obligatoire car la mort peut survenir rapidement ». Ainsi, plusieurs enfants sont décédés en 1986, quelques heures après avoir subi l'inoculation du Tétracoq. Mais, la plupart du temps, les enfants vaccinés sont relâchés dans la nature sans aucune surveillance médicale.
Documentation tirée du livre incontournable de SYLVIE SIMON "VACCINATION L'OVERDOSE - DESINFORMATION - SCANDALES FINANCIERS - IMPOSTURE SCIENTIFIQUE" - Le Nouveau scandale médicale! aux éditions DEJA.