David Marenger est un canadien que la médecine avait condamné alors qu'il n'avait que 6 ans. Son cancer du cervelet ne pouvant être soigné ni par la chirurgie, ni par la chimiothérapie.
N'en déplaise à la Faculté, David Marenger n'est pas mort. Sa mère n'a pas accepté le diagnostic des médecins: "La survie de mon fils, c’était le combat de ma vie, dit sa mère, Yolande Laberge. Quand on m’a dit: ton enfant va mourir dans trois mois, pour moi, c’était: je meurs aussi, si je perds le petit rayon de soleil que j’ai entre les mains."
Alors la maman sort de l'hôpital, sans permission, son enfant condamné et va se tourner vers les médecines douces, l'auto-guérison, la spiritualité, tout ce qu'elle peut trouver là où l'on dit que l'esprit et la pensée ont une influence sur la santé. "J’ai toujours interdit qu’on dise à mon enfant qu’il allait mourir du cancer. Je ne voulais pas mettre ça dans sa tête de petit garçon de six ans."
Depuis David Marenger, qui a 28 ans, est certes est limité physiquement et parle avec difficulté. Il déclare volontiers: "Je ne veux pas critiquer la science, mais ce n’est pas elle qui m’a guéri. Il y a une force intérieure en chacun de nous, qu’on cultive, par la spiritualité, l’éveil de soi, dit-il. Cela n’est pas prouvé, mais la spiritualité peut avoir un effet spécial en chacun de nous."
L'histoire de David et de sa maman a été écrite dans un livre intitulé: Sur les ailes du papillon bleu.