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Peut-on vivre, croire et penser autrement en France sans être soupçonné d’être une secte

Le Centre d’Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités vous invite à une projection/ débat Jeudi 31 mars à 20 heures La Mane à Balma (Toulouse) - 9, avenue de Lagarde

Avec Marie-Christine Koenig, porte-parole du CICNS

La recherche d'alternatives thérapeutiques, spirituelles, éducatives dans la société devrait être appréhendée avec intérêt, curiosité, en adoptant une démarche de connaissance.

Force est de constater que la politique française en la matière, menée par la MIVILUDES aboutit à stigmatiser sans discernement l’ensemble des minorités de conviction - par l'expression « minorités de conviction », il faut entendre tous individus et groupes à vocation spirituelle, éducative ou thérapeutique qui aspirent à répondre honnêtement aux questions essentielles que se pose l'homme, à améliorer l'existence individuelle et les sociétés dans lesquelles nous vivons -, en les désignant sous le vocable péjoratif de « sectes » ou en les suspectant toutes a priori et en vrac de « dérives sectaires ».

Pourtant, tous les domaines montrés du doigt par la MIVILUDES (bien-être, développement personnel, thérapies douces, écoles alternatives, nouvelles spiritualités, connaissance de soi, etc ...) correspondent à une demande croissante de la population de trouver des solutions sur les plans éducatif, thérapeutique et spirituel, à laquelle les structures en place ne savent  pas répondre

En affirmant que « tout ce qui est naturel peut en partie cacher des dérives sectaires » , Georges Fenech, son président, démontre l’approche irrationnelle, résolument répressive et incompétente de cette mission d’Etat pour évaluer ce phénomène de société.

Le CICNS, association indépendante de toute religion et de tout parti politique, représentant tout citoyen soucieux de faire respecter de manière pacifique les libertés fondamentales de pensée, de conscience, de conviction et de choix de vie, dans le respect des lois,propose d’ouvrir le dialogue sur la question des « sectes »

Si vous ne comprenez pas la "lutte contre les sectes", si vous ne trouvez pas toujours les mots pour répondre à ceux qui vous accusent de faire partie d'une secte, si vous vous interrogez sur l’existence de sectes en France, venez en parler avec nous :

Jeudi 31 mars à 20 heures à La Mane

(participation aux frais 5 Euros) tél : 06 34 11 49 58

En France, il doit être possible de vivre ensemble,

dans le respect des choix de chacun