Retour de mon voyage dans les Caraïbes

Retour des Caraïbes

J'ai reçu plusieurs initiation au cours de ma vie et j’ai souvent des rêves initiatiques, mon dernier il y a à peine 3 jours, la veille de mon retour en métropole m'a laissé un gout amer.

Était-ce le fait d’avoir passé mon temps au contact de la nature qui se dégrade :

-          Une ou deux espèces prenant le pas sur le reste,

-          Des moustiques super virulents attaques à 5 ou 6 à la fois et ensuite plus rien pendant environ 15 minutes!, hyper intelligent cachés sous les tables pour contrer le vent d’un rare ventilo ou attendant seulement l’arrivée de belles cuisses à l’air, et sous les lits pour contrer les moustiquaires,

-          Disparition d’espèces animales sans que les autorités ne réagissent, le silence inquiétant qui s’installent maintenant quand la nuit tombe dans la forêt, alors que j’étais habitué au contraire à cet incroyable brouhaha de discussions cacophoniques par les animaux nocturnes ce qui m’empêchait de fermer l’œil  lors de mes premiers contacts en ces terres alors presque vierges

 Quelle différence après seulement 4 ans d’absence, on s’attend à voir du changement en ville mais pas dans la forêt tropicale.

Etait-ce le fait d’avoir passé beaucoup de temps avec mes ami, indépendantistes, nationalistes, mes idées à cent lieues de leur « petite » réalité mais qui est toute leur vie et ça n’est certes pas moi qui va les en blâmer, même si pendant leur temps libre ça n’est pas en étudiant Socrate ou une philosophie orientale qu’il le passe mais à boire du rhum 50% à moins de 5€ le litre et de vérifier (cette peur est plus forte que la mort) que leur attribut mâle peut toujours fièrement se dresser sous le soleil des tropiques ou plus exactement sous les mini pagnes de beautés qui ne laisseraient de marbre que le marbre lui-même s’il y en avait ici !

Etait-ce le fait de mes visites Vaudous, chamaniques ou simplement chez des guérisseurs qui utilisent maintenant le coca cola pour nettoyer les pattes de coq que l’on attache là où il faut, là quand il faut !

Ou était-ce simplement la fièvre (tenue tant bien que mal en respect par mes HE et un savant mélange de plantes locales tel que kasyalata, gwo diten et ponm kannèl et bien sûr ma dose de Vit C salt augmentée pour la cause ) qui me prenait le soir à cause de mes piqures boursouflantes sur mes pieds déformés, rien que sur une jambe du genou à la plante des pieds, je dénombrais 87 piqures (qui me faisait des boules style ampoules sur 10 cm de diamètre, qui si elles éclataient me démangeais pendant des heures) au bout de 3 jours ! Des drôles de bestioles presque invisibles dont je ne me souviens pas avoir jamais eu à faire avant !

Etait-ce parce qu’un guérisseur illuminé (l’était-il vraiment ? les gens doivent me prendre pour l’un d’entre eux quand je parle des méfaits de tous les vaccins) qui m’a bien soigné aussi, entre confrère, on s’aide sans égo, m’a fait entendre que ces drôles de moustiques étaient nouveaux ! Un genre composé, hybride ! Un mélange de trois races… rappelant le mélange d’un certain virus croisement de grippe aviaire, porcine et saisonnière qui se serait échappé… à l’instar du séisme Haïtien qui s’est arrêté lui à la frontière de la république Dominicaine !! comme le nuage de Tchernobyl à la frontière française… oui mais là, il se serait arrêté parce qu’il était bien élevé, bien éduqué, bien préparé par les amis américains, un séisme souterrain de chez Cardin, sur mesure, comme un immeuble que seul les experts peuvent faire s’effondrer sur lui-même quand il est dynamité à la base mais par des pros, tout serait lié, l’avenir le dira, on sait que plus c’est gros mieux ça passe, mais cela demande plus de temps pour connaître la vérité,

Mais pourquoi j’ai rêvé que je voulais faire entendre raison à Sarko ? qui ne voulait pas comprendre, qui faisait sa tête de cochon alors que je lui montrais et démontrais que nous courrions à la cata, tout ce qu’il savait dire c’est qu’il faut être optimiste, qu’on trouvera toujours des solutions le moment venu, qu’il ne sert à rien de faire paniquer les gens, bref le genre de rêve dont je me serrais volontiers passé.